2/26/2006

Huacachina, l'oasis du Peru


Ma dernière parution venait de Cuenca, Écuateur. 35 heures plus tard, j'etais à Huacachina, tout près d'Ica, Peru. Je me souviens pas si je l'avais dit ou non, mais la côte péruvienne est très désertique. Aucun arbre, que des montagnes de sables. Et bien sur, l'eau, puisque c'est la côte. Obvio.
On est arrivé a Huacachina le soir; j'étais toujours ignorant de la surprise que j'allais avoir en me levant. Huacachina, c'est un petit oasis avec un lac en plein milieu d'un gigantesque désert de dune de sable. Tellement spectaculaire. En plus, la ville est trop relaxe. C'est vraiment minuscule, et il fait tellement chaud, que tout fonctionne au ralenti. Les gens sont aussi slow que le rythme de la ville. J'adhère à la théorie qu'à force d'être au soleil, ils finissent par se faire cramer le cerveau. Sérieux, quand tu te pointes dans un restos et que tu demandes à manger, et que le serveur immobile te questionne d'un air vitreux et son un petit coulis de bave le long de machoire ouverte... Pas fort. Anyway, les touristes eux étaient ben cool. Et pour nous soulager de la constant fourneux qu'est Huacachina, on avait toujours la piscine de l'hotel.
A part relaxer (c'est tellement la meilleure place pour faire ca!) on s'est payé un petit trip de sand-boggy jumelé à du sand-board. Je m'attendais à plus, mais on a quand même eu ben du plaisir. Les paysages sont à couper le souffle. Les débarques de sand-board le sont aussi. Ca roule en sacrament, et du sable, c'est pas de la poudreuse, c'est dur. Je suis encore tout crispé des multiples débarques.
C'est dommage qu'on doivent courrir d'ici la fin pour voir tout ce que l'on veut, car j'aurais bien rester la quelques jours...

2/21/2006

Tout en marchés


Après les évenements de la boucle, Vince nous (Fil et moi) a quitté. Il est parti vers le sud. Nous, vers le nord. Le jeudi, on est arreté à Siquisili, où a lieu nu des plus gros marchés indigènes de la nation. Principalement pour les locaux, il y avait une petite partie pour les touristes, voir peut-etre le 1/4. La section nourritures était partculièrement intéressante, avec des tonnes des gens accompagnés de ce qui ont a vendre. Ça varie des simples bananes, au ognons, en passant par tout ce que je connais pas. La partie touriste était aussi plaisante, mais c'était pour touristes. Ça reste toujours moins vrai dans ce temps la...
Ensuite, Quito. Une ville ca reste une ville. Mais Quito a quand meme un extremement beau vieux quartier, uen ambiance generale décontractée, avec ca situation géographique particulière; la ville est juchée dans les montagnes. De plus, avec sa horde de touristes, Quito offre un bon night-life et de bonnes opportunités de rencontres.
Le samedi, on est aller voir le fameux Otavalo market; un des plus gros en amerique du sud. C'était prévisible, mais ça donne toujours un choc de la constater. C'était un vrai zoo à touristes. Bonnes opportunités d'achats par exemple. Finir par Quito, il y a de quoi remplir mon gros 80 litres de handicrafts ecuatoriens.
Par la suite, on est aller a Baños, dans le sud. Excellente place pour faire toute sorte d'activité, mais comme la jambe a Fil était encore tout croche, on a pris ca relax. Le décor était absolument féerique. J'ecris maintenant de Cuenca, ville coloniale assez jolie. On quitte demain pour le voyage de retour. Premiere destination Lima.

2/15/2006

God bless the backpacers (the stupid ones)

Bon, si je reprend la ou je vous ai laissés, ça y va comme suit. Je n'ai pas grimpé le volcan, car comme à l'habitude, il y a des nuages. On décide donc de refranchir la frontière pour aller vers le sud; direction Latacunga, Ecuator. On venait ici pour 2 choses: une ride de bus malade dans le country side, et la possible grimpe de volcan, le 2e plus haut de l'ecuator (le cotopaxi). On risque de ne pas monter le volcan, faute de temps et de vetements chaud (même sur l'écuateur,il fait vraiment frette à 4000m...). Pour la première, highlight du voyage.
La ride consistait à faire la Quilotoa loop: 2 jours de bus dans des paysages à couper le souffes, mootagnes, vallées cultivés, et cratère de volcan remplie d'eau. Bien entendu, faire du bus, c'était pas assez aventureux pour nous. Alors on a décidé qui descendre de la bus pour aller jeter un coup au volcan. Sick. Il nous restait donc 5 heures de marche pur se rendre à la destination finale. Il était déjà 3 h. Alors même avec un bon rythme de marche, on arriverait à la noirceur. Ordinaire. En plus, il fallait emprunter les trails (non indentifiés) des locaux. Ce qui veut dire que l'orientation est difficile. En d'autres mots, on allait de perdre, presque qu'assuré. Vous devinez la suite. On s'est perdu. Pis se perdre la bas, c'est pas trop le fun. On devait marcher à travers le nuages, les vallées perdues, traverser les cayons, braver la pluie, marcher au frette et à la noirceur. Et à cause de notre perte, on a du se raouter facilement 2 à 3 heures de marche. Résultat, 9 h du soir, on marche encore. Au moins, on marche sur une route. On doit dealer avec les jeunes qui nous quêtent de l'argent et ceux qui nous lancent des balloons d'eau. Pas cool à la tomber de la nuit quand tu es déjà gelé... À ce moment, on estime (à tord) notre arrivée à "dans pas long". C'est alors que le Dieu se manifeste. Un pick-up passe et nous ramasse. On a dû faire au moins 30 min, l'équivalent de 2 à 3 heures de marche. Faites le calcul. Ça aurait craint d'être nous au plus au point. On a ben dormi cette nuit la, croyez moi!
Le lendemain, il fait beau dans la matinée. on décide de repartir à l'aventure. La plan était de marcher dans les trails pour aller rejoindre la route principale, le tout pour environ 3 à 4h de marche. Encore une fois, à cause d'un mauvais choix de route, on se ralonge . Jusque là, c'est pas trop grave, puisqu'ilfait encore clair, et qu'ona tout notre temps. En autant qu'on arrive à destination. On commence par contre à trouver notre dejeuner pas mal loin, puisqu'on a rien à manger et pratiquement rien à boire. On est downtwon nowhere. Et vlan, le ciel nous tombe sur la tête. Fil attrape un mal étrange à la jambe droite. Il est maintenant incapable de marcher, où presque. Ça va mal à chope comme on dit. Et tout à coup, Dieu se remanifeste. Sérieusement, je lui doit une couples de sacrifices pour tous les fois qu'il m'a sauvé la peaudu cul. Je devrais p-e lui donner un nom aussi... Je diverge. Je disais donc, un pick-up (eh oui! encore une fois) passe, peut-être 15 après la chute du ciel. Il restait au moins 2 à 3 h de marche de nouveau.
La morale de cette histoire, c'est qu'on peut se lancer dans n'importe quele conneries et aventures, ça va toujours s'arranger. No matter how deep your are in the shit.
Le bilan de cette histoire, paysages fou raide. 2 jours de magie. À refaire...

2/12/2006

Sim au pays maudit

Avec toute la mauvaise réputation internationale qu'il s'est mérité au cours des dernières années, la Colombie théoriquement mérite bien ce surnom. Je dis bien théoriquement. En pratique, c'est une toute autre chose. Bien évidemment.

Mon séjour ici a commencé dans la contreverse personnelle. Je m'étais promis de ne pas voyager de nuit. La guerilla, quand elle frappe, frappe de nuit. C'est peu probable, mais pourquoi courrir apres les ennuies. Ben j'ai fouiré. On a traverser la frontière vers 8 h (il fesait deja noir). On ensuite prit un collectivo pour Pasto. Arrivée, 10:30. Prochaine bus, 11:30. Arrivée à Popayan à 6h du matin. Bravo. Je suis fier de moi. Après tout, les résolutions sont faites pour être brisées.

Après notre demi heure à Popayan, on quitte vers Silvia, mini village montagneux, lieu du plus grand marché Indien du pays. La route pour s'y rendre est à couper le souffle. Montagnes, vallées, maisons typiquement rurale, route sinueuse, écoliers attendant la tracteur scolaire... Décors comme je les aime.
Pas un touriste à l'horizon en débarquant à Silvia. Pas suprenant, il est genre 7 heure du matin. Le marché est toutefois bien lancé. De toute façon, je doute fort que d'autres touristes ce pointent ici. C'est tellement perdu. Comme à l'habitude quand je débarque dans ce genre d'endroit perdu, je me passe la reflexion " Quessé qu'on fait ici?" La réponse est pourtant assez simple.... mais je ne peux quand même pas m'empêcher de me passe la remarque.
Ici, presque tout le monde porte l'habit traditionel. Jupe mauve, ti casse melon, grosses bottes. Les photos risquent d'être meilleures que moi pour la description. Même avec leurs attributs plus que bizarres, c'est nous qui avons volé la vedette. Les gens ne pouvaient juste pas s'empêcher de regarder les 3 gringos de 6 pieds qui se sont trompé de chemin pour attérrir au milieu de nul par ( Silvia). À l'honneur au marché: fruit et légume frais (of course), bottes, chandail, montres, café, patates, poulets vivants. De tout finalement. J'adore trop les marchés. Tellement vivant. On devrait importer le concept. Franchement.

Malgré ma passion pour les marchés, après l'avoir visité à 2 reprises, on avait plus grand chose à faire. On quitte donc pour Cali, grand ville Colombienne, réputé pour avoir soi disant les plus belles filles de la nation. Je dois secondé. Les demoiselles étaient sublimes. Et beaucoup plus sexy que leurs voisines du sud. Malheureusement pour nous, on est arrivé sur un jour de semaine. On a donc raté une très bonne occasion d'avoir l'aire fou dans une salsatèque colombienne. Et par le fait même, de rencontrer les jolies Caliennes (??). À ma grande surprise, la ville est très moderne, comme tout ce que j'ai vu de la colombie jusqu'a présent. Beaucoup plus que le Peru et l'Ecuador. J'ai gouté à l'herbe Colombienne, et encore une foi, franchement meilleure que ses competiteurs sudiens.
Le plan pour la suite, était d'organiser une expédition sur la Isla Gorgona, parc national colombien sur la côte pacifique. L'informations était difficile à obtenir en ville, alors on a décidé d'aller voir sur la ville côtière la plus proche, soit Buenaventura. La ville n'a rien d'exepcionelle, à part le fait d'être autentiquement portuère. Sale, bruyante et même probablement dangereuse. De quoi avoir beaucoup de fun! Encore une fois, l'informations se trouve au compte-goute. On doit courrir dans toute la ville pour aller voir les différents propriétaires de cargo pour connaitre leur desinations et leur prix. Une aventure en soit. Finalement, trouvant le voyage direct pour Gorgona trop cher, on opte pour aller dans une autre ville, beaucoup plus proche de l'île, pour ensuite attraper un petit bateau de pecheur qui pourrait nous emmener sur le parc. La ville en question se nomme Guapi, et se rejoint uniquement par voie maritime. Alors on trouve un cargo de bois qui se rend la bas. En nous quittant, le chauffeur nous amème dans un petit coin et nous litéralement, " les gars, couchez avec vos packs, laissez personnes leur toucher. Protègez vos arrière, c'est franchement dangereux sur ce genre de bateau." Nous, on fillait so so après ce petit avertissement. Surtout que le voyage allait s'effectuer de nuit. On commencait deja a planifier la rotation de la garde nocturne... De plus, les gens sur le cargo n'étaient pas vraiment simpatiques. Rien pour rajouter à l'atmosphère déjà pas trop rassurante. Enfin, on rencontre un gars qui à l'aire aimable. Il parle même anglais. Il nous raconte un peu son histoire: il a passer 6 ans à Houston, USA. Ils vendait de la drogue; pot, crack et autres cochoneries. C'est alors que j'ai poser la mauvaise question. "Pourquoi es-tu revenu en Colombie?" Réponse: " A guy tried to robbed me. My money, my drugs, everythings. So I killed the mothafucka." Rien pour nous rassurer. À ce moment la, on était pas gros dans nos culottes. 12 heures de bateau avec ce genre de personne la. S'il décide de nous voler, on est cuit. Tout ce qu'on pourrait faire c'est de dire: "help yourself". Finalement, rien de grave n'est arrivé. Seulement une mini nuit, dans des quartiers de 2 m carré, incluant 6 couchettes, à ce faire barouater aux gré des vagues de pacifique.
Guapi, 7h du matin. On bat un recor personnel. Ici, ils doivent acueillir genre 20 touristes gringos par année. On est pas mal les stars de villages. La ville est accecible seulement par voie maritime ou aérienne. Normal qu'il aille si peu de touriste. Alors on commence nos démarche pour trouver un transport quelconque pour aller sur l'île. Bordel. Tout est hors de prix. On fait le tour de la ville, parlant à tout les propriétaire de barque possible. La réponse est toujours la même. On est baiser. On est prix dans cette ville, quasiment exclusivement noir (le centre du pays est plus mixte), n'ayant comme seuls choix d'aller sur l'île Gorgona, ou bien de retourner sur nos pas, ou bien de prendre un nouveau bateau pour aller plus vers le sud, ce rapprochant ainsi de l'ecuador, prochaine destination. Après avoir jouer de longues heures avec des jeunes de la place, on fini par prendre notre décision. On part vers le sud. Trop cher pour aller visiter le parc. En plus, on ne savait rien du cout de la vie une fois rendu la bas. On dernier guess nous décourageait. Direction Charco.
Charco, nouveau recors atteint. Ici, je doute même qu'ils voient des touristes, at all. La présence militaire s'amplifie aussi. On a du se faire contrôler aux moins 6 ou 7 fois pendant notre périple sur la côte. Questions et vérification de papier, rien plus. Mais leur M-16 (mitraillète américaine) n'avait rien de rassurant. A Charco, notre célèbrité est au zénith. Les gens nous pointent, rient de nous (on ne sait toujours pas pourquoi d'ailleur. Faut croire que le fait d'être gringo dans une ville quasi exclusiement noir faire rire certaine personnes!) Marc, juste pour te dire, c'est pas mal pire qu'à Conce, même à l'heure de pointe écolière. L'expérience est franchement intéressante par exemple. J'ai rarement été dans une place aussi reculée, même en Asie. Pas contre, les gens demeurent aussi simpatiques. Le seul problème, c'est qu'à la fin de chaque conversation, ils te demandent de l'argent pour manger. Ça casse le charme un peu. Notre prochain barque était le lendemain matin. Cette fois ci, pour Tumaco.
La route pour se rendre à Tumaco est particulièrement impressionante. Mélange entre open-sea et Mangrove forest. Notre chaufeur se prenait pour Schumi, alors la route s'est bien faite. Encore une fois, plusieurs contrôles militaires. Après 5 h à se faire barouater, on arrive enfin sur le terrain des vaches. Et finalement, on atteint une ville qui est lier au reste du monde par une route. En théorie du moins. En parlant avec la cuisinière du resto, elle nous apprend que la seule route était inactive, dû à un éboulie. Tarb*%(/&··ck, on va tu avoir de la chance un jour? Elle nous dit que la route réouvrira possiblement d'ici 3 à 5 jours. AAAAAAAAAHHHHHHHHH. On ne désespère pas. On décide d'aller quand même s'informer aux agences de bus. Même eux avait l'air pas trop sur. Ils nous disaient, si jamais ça ne passe pas, vous n'avaiez qu'à marcher 20 minutes et prendre un autre bus de l'autre coté . On se lance. Y faut bien. Même si j'ai l'impression que depuis le début de notre aventure, on se lance et qu'on a tombé à coté de la piscine. Qui ne risque rien n'a rien. On s'est finalement rendu à destination: Pasto.
Au menu, visite au Laguna de la Cocha et possiblement montée d'un volcan. AUjourd'hui, on est allé au laguna. Heureusement (ou non), c'était jour de fiesta. On pouvait difficilement marcher tellement il y a vait du monde. Quand même pas mal interessant. On a mangé du cochon d'Inde. Il fallait essayer. Il avait l'air trop bon sur sa broche en train de rotir. Et ca avait l'air typique. Suffisament de d'argument pour me convaincre. Pas vraiment bon par exemple. Le lieu est malade. Un gros lac au mileu de montagnes trop nice.
Demain, c'est la grimpe du volcan si la temperature nous le permet. Il n'y a rien de pire que de monter à 4000 m et d'avoir la vue bloquée par les nuages... Après on retourne en Ecuador pour visité un peu plus. Je suis vraiment passé vite, et il me reste des tonnes de choses à voir. LEs photos devraient venir bientot, aussi vite que je peux trouver une bonne connexion internet.

2/06/2006

¡Finito!, Elvis Presley. ¡Finito!, Santa Banana.



Oui, Elvis est bel et bien mort. Et oui, le titre fait aucun sens. Ou presque. J'aurais du intituler mon article "Bienvinidos à Santa Banana", mais ca avait beaucoup moins de punch. J'ai préféré répeter les lignes du fameux classique québécois. Maintenant pourquoi?? Ben j'ai officiellement renommé l'Écuador la république de Santa Banana. C'est le pays des bananes ici, evidemment, à mon grand plaisir.

Jusqu'à maintenant, on a fait Guayaquil (plus grosse ville ecuadorienne), Montañita (mini surf resort, du style pas mal bohémien), et Quito (Capitale Ecuadorienne, mais seulement pour une avant midi).

Guayaquil:
Grosse ville. 2 500 000 habs. Sans trop de saveur. Pas grand chose à voir sauf le Parc Simon Bolivar. Lui, c'est une légende dans tout l'amérique du sud. Il vient du Venezuela (si j'ai bonne mémoire) et il a libérer genre 4 ou 5 pays de l'empire hispanique... Anyway, dans le parc, y'avait genre 40 gros iguanes. Juste sur la photo avec l'arbre, on peut en compter genre 10. Les plus long pouvait atteindre 1,5 mètre... Le pire, c'est que le parc est en plein milieu de la ville...

Montañita:
Petit paradis. Trop relaxe. Dans le livre, on peut lire: " montañita means barefoot, banana pancake and surf". C'est juste trop vrai. Mais ils ont oublier quelque chose de ben important: party! Evidemment.
Le village est envahie de hippies de toutes sortes (j'imagine que je suis un peu à blamer) qui vendent colliers, bijoux et cossins de coquillages. Toursits trap, mais ca met quand même un peu d'ambiance. J'ai bien l'impression que le barefoot vient d'eux. À vrai dire, j'en suis sur.
On a trouvé une place où ils vendaient des empanadas aux bananes. Des empanadas, c'est comme des pizzas pochettes, en bon et fourrés à plein de trucs, dont le tout récemment découvert, les bananes. Et vous connaissez ma passion pour les bananes.... Je suis venu accro assez vite. Et je vous ai dit que tout ca était frits???
Le surf. Encore. J'ai finalement upgradé mon statut de wanna-be surfer à mauvais surfer. Mais sérieusement, une ou deux journée de plus et je me méritait celui de tant convoité de surfer. J'ai réssit à rider avec le board que Vince avait loué (genre ponton), avec le mien, 6'6, et avec celui a Marc 6'2. J'était pas mal fier de moi! Bref, méchante belle expérience. Rider une vague, c'est... je sais pas trop. Indescriptible pour le moins.
Party: Band live, bar tranquillo, pubs, club; tout y était. Y'avait des mini-kiosk à alcool dans les rues. Le soir, les rues étaient plein à craquer. Pour économiser notre argent, on s'est mit sur le caipiriña, drink brésilien à base de caña, lime, sucre et glace. Délectable.

Ensuite, on est allé rejoindre Fil à Quito, pour repartir le soir même vers le nord. Vers le pays maudit!!!!

La fin de mon séjour à Mancora


La plage est toujours aussi belle que dans mon dernier article. Les femmes toujours aussi attirantes et la vague toujours aussi surpeuplée. Pas surprenant, c'est la même place... On a du passer au moins 5 jours là bas. C'était juste trop relaxe. Plage, surf, bars, beaucoup de nourritures. Difficile de ne pas aimer ça...


Vince-de-Conce est venu nous rejoindre, alors pour la première fois, on était les 4 ensembles, comme prévu au début du trip: Moi, Vince-de-Conce, Marc & Fil. La dinamique change drolement en voyageant à 4. Même trouver un resto devient quasiment complexe.
Ça résume pas mal le restant de mon temps à Mancora, capitale Péruvienne du surf.


Photo : Début d'une soirée pas mal intéressante