8/31/2006

Restant du reste

Je sais , je sais, ca fait tellement longtemps que j'ai pas poster, que probablement personne va lire ce que j'ecrit à l'instant, pensant que mon blog avait decédé d'une mort tragique. Ben non, il est toujours en vie. Du moins juste assez pour raconter les dernières péerpécies de mon voyage.

Bon, apres Uyuni et la death road, on s'est dirigés tranquilement pas vite vers le Peru. Première halte, le lac Titcaca, et son ile la plus fameuse: Isla del Sol. Un mini 2 jours (arrivée a 4 PM et depart le lendemain a 10:30 du matin) ien relaxe a marcher tranquilo sur l'ile. Le decor etait digne de sa réputation: pics eneigés au loin, eau turquoise, truite fraiche du jour au souper, santiers et ruines Inca. On a marché pendant tout le temps qu'on a été sur l'ile. Bref, un bon 2 jours de paix.


Ensuite, Cusco. Puis Machu Pichu. Fou raide. Un nouveau Walt Disney si vous voulez mon avis, mais trop ice quand meme. Definitivement un highlight de mon voyage. J'aurais pu facilement passez plusieurs jours la bas, sans me tanner.

On a terminé nos trip en allant a Huaraz, immense terrain de jeux pour trekkers. On s'est payé un 3 jours de trek, avec une passe a plus de 5200 mètres. Laissez moi vous dire qu'a cette hauteur, meme marcher devient un penible exercice, et c'est sans compter le 25 kg sur le dos... Les pasages vallaient heureusement la peine d'aller souffrir un peu.

Le retour au pays s'est bien passé. J'ai par contre eu aucun temps mort, puisque dans ma semaine de lousse, je suis aller planter des arbres a La Tuque, histoire de remflouer les coffres un peu.
Je suis de retour a Mtl. # de tel 735-9916. J'attend votre call.
Sim

8/06/2006

Salar de Uyuni & Death Road

Apres avoir pris ca relax a La Paz, on s'est dirigé à Uyuni, histoire de booker un tour pour le Salar et les environ. Le salar, c'est une ancienne ancienne mer maintenant disparue et qui a laissé tout son sel. Pour se rendre, on a tomber sur un bus local. Le pire bus que j'ai pris durant mon année ici. Remplis de locaux dans le passage, (et ce pour toute la nuit) avec porte un fenetres mi-ouverte. Il fait genre -10 , -15 la nuit la bas. Le voyage a été long disons.
Le tour etait nice, mais un peu trop de truc a mon gout. Je vais etre bref dans les descriptions, je viais plutot poster des photos. En résumé, 3 jours pour voir le salar en tant que tel, plusieurs lagunas, flammants rose, grottes, et quelques autres attractions. On était avec avc un couple de Suisses et un de boliviens, alors on a pu jaser pas mal de la Bolivie.
Ensuite, a notre retour a La Paz, on a magasiner (et oui!), et on s'est trouvé un tour de bike sur la Death road. De 4800 m a 1200m, sur 70 km en moins de 5 h avec des moyennes de vitesses digne du tour de France (au moins 60 km/h sur l'asphalte et 40 km/h sur la terre), tout ca avec un decor derangeant (précipice de 300 m à 2 pieds de la route pou tu passes avec ton bike). En moyenne, 26 camions tombent dans les précipices chanque année, ce qui lui donne le titre de route la plus dangereuse au monde...

7/30/2006

de retour en Bolivie

C'était presque qu'un soulagement que d'arriver en Bolivie après notre 2 semaines au Paraguay. J'aurais jamais cru dire un jour qu'aller en Bolivie allait etre un soulagement.
Santa Cruz était très agréable. Ville à la fois la plus peuplée et la plus riche, c'est tout un autre comparé au reste de la bolivie. En plus, il fait chaud.
En arrivant la bas, presque tous les hotels cheaps étaient plein. On a du cherche quasiement 1 h pour finalement trouver. La madamme nous avertit clairement qu'on devait rentrer avant 11h du soir. Ca pourra faire pour une nuit qu'on s'est dit. Alors, après avoir écouté Miss Universe 2006 sur la Plaza de Armas (pas de jugement svp. La Miss Bolivie qui s'est rendu dans les 10 dernieres etait de Santa Cruz, alors on ne parlait que de ca la bas....), on rentre a la course a l'hotel pour arriver avant la fermeture des portes. Meme la, a 10:50, tout etait fermé a double tour. On a du sonner une bonne centaine de fois, mais aucune réponse. Désespérés, on décide (a vrai dire, on avait pas vraiment le choix...) d'aller se cherche de nouveaux lits. On venait de tourner le coin qu'on s'est dit, pourquoi pas essayer a la porte voisine, on sait jamais. En revenant sur nos pas, on rencontre quelqu'unb dans la meme situation que nous. La femme lui avait meme dit minuit. Lui aussi sonne, mais touorus sans réponse. Il finit par appeler au numero inscrit sur la porte. Réponse, et la femme vient immédiatement nous répondre en disant " mais pourquoi vous avez pas sonné?" Je voulait l'étripper. Elle ne sait meme pas excusée. La tarbar....
Le restant de notre séjour s'est bien passé. Malgré que pour compenser notre séparation, moi et Vince on s'est lancé dans une folie dépensière autant inusitée qu'imprévue. Vince a vraiment de mauvaises influences sur moi....
Moi je partais vers Sucre par la suite. Elle est considérée, avec raison, la plus belle ville de Bolivie. Batiments coloniaux, belle atmophère et festival de films sur les droits humains ont servis a maintenir la réputation. Je ne suis rester qu'une seule journée, juste assez pour me trouver une amie avec qui aller visiter les mines de Potosi (je me sentais en peu insecure d'aller remper dans des mines apres avoir perdu connaissance a 30 m de hauteur dans un arbre, voir le post sur la jungle...). Tout ca pour rien, puisque je suis tomber salement malade la nuit avant ma visite. C'est quand meme a 4700 metres, et faut croire que je suis une petite nature et que ca m'a pas fait. J'ai meme perdu mon billet pour le tour, 5 $. Fallait vraiment pas que je feel bien... Le pire dans tout ca, c'est qu'il fallait que je passe la nuit dans le bus pour me rendre a La Paz. Potosi est vraiment spécial, du fait qu'elle est a 4700 metres d'altitude (la plus haute ville au monde soit dit en passant), et son passé style montagne russe. Elle a été a son tour la ville la plus prospere d'amérique du sud ou complètement morte. Elle existe seulement pour sa méga mine d'argent, ou travail des centaines de personnes, de 8 a 50 ans (il dépasse rarement ce cap, du aux conditions de travail inpitoyables). Les mineurs ne gagne que quelques dollars par jour, et ce pour plusieurs heures de travail. Les mineurs carburent à la feuilles de coca, l'alcool a 96% et cigarettes.
Je suis maintenant a La Paz avec Alain, mon pere. On prend ca relax pour l'instant, car on recent encore les effets de l'altitude (La Paz est a 3700 m). On a été quand meme pas mal chanceux, car, la journée de notre arrivé, était jour de grande fiesta universaria. 61 écoles ayant chacunes plusieurs facultés défilaient sur l'avenue principale, dansant, jouant de la musique, le tout avec des déguisement plus fantastique les uns que les autres. J'aurais vu ce type de défilé à la tv, etje m'aurais surement passé la reflexion, maudit que c'est caractérisé, genre nous avec nous traineaux a chiens ou nos bucherons. Mais faut croire que j'aurais eu tord.
On quitte demain pour Uyuni, et sa mer de sel.

7/24/2006

Post de Vince amusant

Make your choice
Which one of theses stores would you be most likely to go shop into...


Kids & Baby Clothes store in Bariloche,
ArgentinaWomen Clothes Store in Punta del Este, Uruguay
Pharmacy in Charco, Colombia

Come on show some humor!

Paraguay

J'ai passé l'équivalent de 9 jours au Paraguay, et j'ai trouvé le tour de ne rien faire du tout, sauf de la route. Un impressionant total de 86h!!! On est arrivé directement a Asunción (capitale Paraguayenne) depuis Montevideo. a premiere vue, le pays me semble tres différent. Sans paraitre ultra pauvre, la ville n'a rien d'une ville moderne. Des bus datant des 50, aucun centre ville apparant. Ici, la température est accablante et tout ce passe donc au "slow-motion". C'est frappant a quel point les différentes classes sociales sont distancées ici.. J'ai rarement vu une concentration aussi prononcée de Mercedes. Et presques toutes de l'année. Le pays est maintenant bon premier sur la liste des pays corompus, selon une résidente. On ne peut qu'acquièser...

2e arret au Paraguay: ciudad del este, qui elle est classée ville la plus dangereuse d'amérique du sud par le Lonely Planet, dù a sa proximitée a la fontière brasilienne et argentaine. En plein jour, pauvre, mais pas inquiétant. Mais je n'aurais pas marcher seul au centre ville en pleine nuit. La ville était anciennement reconnue pour ses aubaines sur l'electroniques et les produits de contrebandes, mais ce n'est plus vraiment le cas. La ville est située tout près de la rivière Pàrana, sur laquelle est construit la plus grosse centrale hydroélectrique du monde. Impressionant, mais la visite guidée (gratuite) laissait a désirer. J'aurais aimé voir plus de machines et de matériels. Par contre, le guide nous a donné une tonne d'information technique sur le barrage et sa construction. Par exemple,

  • 8km de long,
  • plus de 200m de hauteur,
  • 14 000 Kw de puissance,
  • 20 000 M$ sur plus de 20 ans,
  • 95% de toute l'énergie nécessaire au Paraguay et 25% de celle du Brasil...
  • 40 000 ouvriers nécessaires à la construction
  • en terme d'énergie, plus de 2 X plus gros de La Grande 2

Le retour (un samedi) a Asunción s'est fait sans trop de problème, mise a part les 8 h dans un tape-cul (un vrai, pas les confortables bus jaunes scolaires...) remplis a craquer. Me croireriez vous si je vous disait que tout (TOUT!!!) était fermé un samedi a 6H??? On a ete obliger d'aller manger dans un espece de fast-food. Le seul resto ouvert de tout le centre ville. On en croyait pas nos yeux...

Dimanche, on partait donc vers Concepción (paraguay, évidemment) pour entamer notre aventure fluvienne, sur le "rio paraguay". La ville est très active a notre arrivée: la dimanche, les gens n,ont rien a faire sauf boire de la bière et faire des aller-retour a motocyclette sur la seule avenue pavée de la ville. Certains ont meme eu la "gentillesse" de nous faire partager leur gout musicaux, en patentant des mega systemes de son sur leur miniscules motos et en testant leur puissance avec du Reagaton. On voulait mourrir.
Pour une fois, les demarches ont bien été. Infos valides, et presonnes compétentes. Choses plutot rare ici en Amerique du Sud. Résultats, notre billet de bateau a été acheté en dedans de 10 min. On avait prévu au moins une demi journée. Alors nous aussi il ne nous restait plus qu'a boire de la bière... la vie est dur.... : ) On partait le lendemain, pour 2 jours et demi sur le Aquidaban, bateau de marchandises, aprévisionnant les villages le long de la rivière, servant ainsi de supermarché flottant pour ces memes villages, a destination de Fuerte Olimpo, village où on allait prendre un collectivo (en teorie... vous allez comprendre) pour Filadelfia et la sortie du pays.
Notre aventure a bien mal commencer. On pensait partir pour le "off the beaten track", mais 3 autres "gringos" étaient aussi a bord. Finalement, c'etait pour le mieux, mais au debut on était pas content. La première journée a été terrible. Madamme chiantes (celles qui vendaient leur marchandises. Elles ont été vraiment bitch tout le long, mais au debut c'était pire. Après, on a appris a ce tenir loin), bateau surchargé, enfants qui brallaient, bancs tellement inconfortables, bruits incessants.... vous voyez la scène. Heureusement, on a réussit a louer un hammack et a se trouver un petit spot à l'extérieur du mur latéral. Couché de soleil, voute étoilée, étoiles filantes à la tonne et levé de soleil absolument incroyable. 2e journée tellement plus zen, deja moins pacté, le bateau est à ce point viable (du moins comparé a la 1er journée). Ca reste qu'on a rester assis sur une planche de bois toute la journée... Puisque c'était l'anniversaire de Vince cette journée la, on avait apporter un petit remontant: 750 mL de rum paraguaien absolument imbuvable. Vince a quand meme terminé saoul. Mission réussit! La 3e journée a été une répétition de la 2e. Ca reste que les gens était ultra simpatique sur le bateau, et pas mal intrigués par mes cheveux. Personne ne me croyait que c'était mes vrai cheveux...
C'est à la fin de la 3e journée que ca commencé à chier. On apprend que le seul bus partant de Fuerte Olimpo est le lundi 24 (on arrivait le jeudi 20). Moi, j'avais rendez avec mon père le 25 au matin a Santa Cruz, à plusieurs heures de distance d'ou je me trouvait. Merde. On a du trouver quelqu'un pret a nous lifter jusqu'a Filadelfia, a 9h de route pour seulement 370 km. Vous imaginez la condition du chemin... On a trouvé, mais on a du laisser chacun un bras la bas. La pire dans tout ca, c'est que ca nous a laissé seulement une petite heure pour visiter la village de Fuerte Olimpo, qui était ma foie plus qu'intéressant. Décors à couper le souffle, et gens trop simpatiques. C'est d'ailleur un commercant quelconque qui nous a trouvé notre lift après plusieurs appels.
Le voyage a été vraiment chiant. Les 2 premières heures, j'étais content d'etre a bord, mais les 6 dernières, ah my god.... Ils nous mis de la musique traditionelle dans le tapis tout le voyage. On a entendu certaines tounes, les pires a part de ca, plus de 8 fois... Evidemment, la route était dans un piteux état et tellement pousièreuse... On a fini avec un racoon (trace laissée par des lunette soleil sur un peau bronzée) digne d'une saison complète de snow... Par contre, on a pu voir en profondeur le Chaco, territoire s'étendant sur une bonne partie du Paraguay et allant jusqu'en Bolivie (a l'ouest), en Argentine (au sud) et au Bresil (nord). C'est une région aride, mais étragement couverte de verdure, palmiers pour la plupart, mais aussi petit arbustes. On a eu la chance de voir des autruches sauvages, ainsi que des sangliers, et une panoplie d'oiseaux typiques de la région.
Filadelfia n'était guère mieux que le Chaco. Il ventait tellement et avait tellement de poussière qu'on pouvait difficilement marcher. On est arriver vendredi vers les 6h, tout le monde étaient dejà saouls dans la ville. Au réveil samedi, vers les 10h, tout le monde buvaient deja de la bière... Pense qu'il n'y a pas grand a chose a faire la bas.... Notre temps a Filadelfia a consisté a pas mal juste attendre le bus pour aller a Mariscal, d'ou on pouvait attendre (encore une fois) le bus en direction de Santa Cruz. Ce dernier passait a 4h du matin. Alors on a du attendre plus de 8h dans un micro village ayant une population canine plus importante que celle maitrèse. Presque toute la route pour se rendre jusqu'a Santa Cruz était en terre. C'etait quand meme pret de 18h de route. Vous comprendrez ma deception quand j'ai appris qu'Alain n'arriverait finalement pas a Santa Cruz....

7/13/2006

Monteviedo, ville de rêve


J'ai terminé en vous disant que j'etais a Montevideo, Uruguay (ATTENTION, ne pas lire U-R GUAY!!!), alors je vais continuer de la. On est arrivé lundi matin, ultra mort de notre nuit de bus et de la fin de semaine a BA. On avait un rendez vous avec Martin a 3h, alors on a èré dans la ville avec notre immense sac-a-dos. Comme je disais, la ville est magnifique. Beaucoup de "casa colonial", beaucoup d'arbre, des rues en inter-bloc, beaucoup de parcs, dont un qui longe la plage sur toute la ville. A 3h, on se rend chez Martin (a droite.......), qui est en fait la maison de sa blonde (a gauche), qui habite avec sa mère (centre gauche) et une des ses bonnes amies (qui etait ma foie tres jolie... au centre droit). En arrivant, la maison etait remplie a craquer (Martin et sa blonde quittait Montevideo pour le Quebec hier) et evidemment, il tout les amiEs de Ximera etaient la. On a parler un peu et surtout fait beaucoup rire de nous... de facon amicale bien sur. Bref, bien sympatique.

Le lendemain, moi et Vinsolente, on est aller voir de quoi avait l'air Punta del Este, gros resort tres touristique situé a 2h de Montevideo. Genre un mini Cote-d'Azure. Lers plage avait rien d'interessante mise a part quelques animaux semi enterrés dans le sable, dont un chien, des pingouins et des goelands. Au moins Vince a pu regarder ses premiers pingouins de vraiment pret!!! Les plages etaient aussi morte (lire innocupée) car il fait quand meme froid l'hiver et personne n'y habite. "La Punta" etait quand meme interessante, puisque c'est la ou les gens riche on construit leur maisons, maisons d'architecture fuckée, tout droit sorties d'un compte pour enfant imaginaire ou d'un jeu video.... On est revenu en soirée a Montevideo histoire d'approfondir nos nouvelles amitiés. Au repas, Chivito Canadiense (genre de burger uruguayien "a la" canadienne) et biere. Bon tant qu'a moi, le chivito n'avait rien de canadien, mais fallait quand mem pas commencer a s'ostiner pour des niaiseries. On a fini la soirée en allant prendre quelques biere avec Soledad (l'amie HOT) et une autre amie dont je ne me souviens plus (avec beaucoup de honte) son nom.
Mercredi matin, temps des adieux. Nous on quittait pour le Paraguay. Une autre nuit sans trop dormir, une Xe en ligne. Une Xe de trop...

L'Uruguay m'a bien plus. Toujours un énorme plus de rencontrer des gens sympatiques de la place. On a appris beaucoup sur le pays autour des nombreuses bieres bues. Faut croire que la biere sert a quelque chose. Et jusqu'a maintenant, c'est dans ce minuscule pays que sont situées les plus belles filles d'Amerique du Sud. Tant qu'a moi bien sur. Il me reste par contre quelque pays a voir... Et en plus, du a la situation economique plutot précaure (i.e. les jeunes hommes quittent tous le pays), le ratio homme-femme de 20 a 30 est de 1 pour 7. Comme dans mon rêve d'y hier soir... oups! Comme le dit si bien Vince, c'est quasiment inverse de poly ca.... (vous m'entendriez pleurnicher si vous étiez ici....)
A bientot

Photos ajournées : Parties conce, Pucon 2e essaie, Montevideo et Chez Fil

7/10/2006

Buenos "Fucking" Aires

Apres le flop de Pucon, on avait beaucoup d'attente de Buenos Aires, et en plus, on avait quelque chose a prouver. On l'avait chier la derniere fois qu'on y était passé.
Avant de parler de BA, y faut que je parle de l'aller. Apres pucon, on se dirigeait a San Martin de los Andes pour ensuite prendre un bus direct pour BA. Par contre, quand on a arreté a Junin de los Andes, on s'est rendu compte que ca allait etre sur notre chemin si on se rendait jusqu'a San Martin. Alors on decide d'aller s'informer si des departs existent pour BA. Les gens ont tellement ete lent a nous repondre que le bus est parti sans nous, mais avec nos baggages par contre. On a du courrir pour le ratraper...
En attandant notre bus, on a eu la chance de voir un peu la game Italie-Alemagne. Tellement absorbé dans le match et a cause qu'on avait oublié de changer l'heure (Vince était pourtant sur qu'on devait pas le faire), on a rater notre bus. M'essemble que c'est du deja vu??? Anyway, la fille qui nous a vendu notre billet vient nous voir en catastrophe: "vous etes encore la? Sautez dans un taxi, la bus vous attent sur le chemin". On a finalement reussi a ce rendre a BA en seul morceau.
Nos 4 jours a BA se résument assez bien. Ben du fun, beaucoup de boison et pas beaucoup d'heure de sommeil. La bas, rien coute de quoi, ou n'importe quoi coute rien, voyez ca comme vous voulez. Alors c'est trop facile de boire chaque soir. Surtout que le night life est fou.La bas, les clubs ouvrent leur lumieres et ferment leur portes a 8h du matin. Ca fait mal....
Le pire dans tout ca, c'est qu'on a meme pas pu aller au Free Beer Bar. Oui oui, vous avez bien lu. Le premier soir, on etait trop saoul, alors on a oublié d'arreter en passant devant. Et le 2e soir (ou plutot le matin), il venait juste de fermer, et on pas voulu nous laisser rentrer. On etait bleu marin.
Bref, on a eu pas mal de fun a BA en compagnie de Fil et ses amis. J'adore trop cette ville la, mais c'est pas trop sain de rester la trop longtemps... Je resent les repercutions apres seulement 3 jours...
Si vous voulez plus de details, allez sur le site a Vince...

La je suis rendu a Montevideo, capital Uruguayenne, chez Martin, un ami quebecois en échange ici. Très différent de ce coté si de la frontière. Beaucoup plus tranquile La ville est tres belle, beaucoup d'arbres et très belle architecture, mais ya pas grand chose a faire pas contre. Ca doit etre pas different en hiver, puisque la ville est bordée de magnifiques plages.

7/07/2006

A quick one

A tous les amateurs de basket (ou non), allez voir ca: 720° en pleine game
http://www.spikedhumor.com/articles/38953/720_Dunk.html
Je suis speechless...
Bonne fin de journée a tous
Sim

7/05/2006

En ce début de voyage

Pas grand chose a raconter et un peu de temps a perdre...
On est finalement partis de Conce le dimanche 3 au matin: destination Pucon. On voulait monter le volcan Villarrica, touours semi-actif, genre qu'il poffe régulierement et que tu peux voir la lave une fois au sommet. Flop monumental. Premiere journée, trop de vent et trop nuagueux... 2 journee de tentativem on apprend que le volcan est trop glacé pour tanter une ascencion. ¡Pucha! On avait pas tout notre temps la bas, alors on a décidé de partir, guardant une histoire inachevée entre nous et le maldito volcano.
On quitte donc pour San Martin de los Andes, de l'autre coté de la frontiere. On arrete en chemin a Junin de los Andes et on decide de s'informer si des bus quittent ce petit village en direction de BA (ca nous sauverait quelques heures). On s'informant, on voit le bus partir avec encore tout nos trucs a l'interieur... On doit courrir apres pour tout recupérer. On a eu chaud.
Quel chance pour nous, en attendant notre bus, on a pu regarder une partie de la Itale-Alemangne. On etait pas mal absorber et meme si Vince disait le contraire, il avait effectivement une heure de decalage avec le chili. Alors on a du sauter dans un taxi a toute vitesse pour aller ratraper la bus deja a plusieurs km de la station qui etait parti sans nous. Bordel, definitivement pas notre journee. Au moins Italie a gagné...
J'ecris maintenant de BA où on a pu retrouve Fil et ses amis francais pour ecoute la game France-Protugal. Les steaks sont toujours aussi bons ici. Je me ne tannerai jamais...
On devrait chiller ici pour les prochains 3 ou 4 jours. Quelques party a prévoir... surtout qu'on a beaucoup a prouver ici...
Plus details prochainement avec photos...
Sim

6/30/2006

La douce amertume

Ca y est. Done. C'est fait. Hecho! Mission completed.
Mon épopée concepcionienne est maintenant terminé, à quelques heures près. C'est avec une petite larme au coeur et une petite crotte au yeux (euh) que je quitte probablement a tout jamais Concepcion. Si c'était pas aussi plate, ca serait l'heure des bilans, regrets, bon souvenirs.... Je vous épargne.
Ca reste que j'ai quand meme réussit mon pari. 30 crédits poly, dans une langue inconnue, dans un réalité remplie de non-sens impossible. Shit, I just did it...
Anyway, faut voir les choses du bon coté, je quitte Conce mais je me retourve "on the road again". Cette fois ci, seul Vinsolente (lire Vince de Conce) a le courage de m'accompagner. On quitte en direction de Pucon, lieu déja visité, mais visite incomplète. Il reste à monter le fameux volcan ou on peut véritablement voir de la lave, et puis redescendre le tout en snowboard. Ensuite, c'est BA (Buenos Aires). Un petit bonjour a Fil. Apres on verra.
On se reparle bientot
Nos vemos Conce, cuidate!
Sim

6/23/2006

Je me souviens

Bonjour a tous en ce merveilleux 23 juin. Les nouvelles se font rarisimes, je le sais, mais la vie craint pas mal ici. C'est ma fin de session. Dernière semaine, 8 évaluations. Ca commence a ressembler à de l'école. Je dis bien "commence", car c'est toujours aussi n'importe quoi. Ca varie entre projet en continuel évolution (on parle ici de la définition du projet), genre que chaque fois qu'on voit le prof, quelque chose change. Il est tellement mêlé, que y faut que je lui explique la téorie pour qu'il puisse comprendre ce que j'ai fait. Sans farce, et ce n'est pas de la prétention de ma part. J'ai bien l'impression que c'est le pire cours a vie, en terme de broche-à-chilien. J'en ai une bonne à propos de ca. Personne ne comprend rien dans ce cours la. J'étudie avec un groupe de génie industriel, pis ils en ont rien a cali**er du transfert de chaleur. Je connait certaines personnes qui on rien fait sur les 8 ou 9 évaluations qu'on a eu jusqu'a maintenant. Mais je veux dire rien. Pis elles ont les meilleures notes du groupe. WTF??? Anyway, comme les personnes sont plus efficaces à copier qu'a travailler, c'est ce qu'ils font. Normalement, ca prend forme de partage de fichier entre équipes ou bien un petit coup d'oeil sur la feuille du voisin. Mais la, ca prend des proporsions ma foie jusqu'a maintenant inateindue. L'aide du prof à envoyé par erreur les code de tous le monde, codes servant à entrer la ou il faut déposer nos fichier de test ou lab. Or, quelqu'un s'est appercu de ca (c'etait pas evident a trouver... genre 2e feuille de calcul dans un fichier excel...) pis a attendu que quelqu'un, en occurance moi et mes coéquipiers, place son fichier sur le net pour aller le ramasser et le copier.... J'en croit toujous mes yeux. J'étais bleu marin quand j'ai entendu ca.
Maintenant, tout va bien, puisque j'ai terminé ma journée, et donc ma semaine, et en plus, je célebre ce soir en compagnie de mes compatriotes québécois concepcioniens. Ca devrait etre bien intéressant, mais je payerais cher pour etre sur les Plaines ce soir en votre compagnie. Pas mal cher a part de ca. Ca fait quand meme 3 St-Jean consécutive que je célèbre à l'extérieur de notre belle province (et oui, un camp de bucherons à La Tuque ne qualifie pas), mais....

---- Je me souviens ----
Sur ce, Québec, joyeux fête nationale!!!.
Sim

6/05/2006

Pisco, coktail molotov et voyage

Vous trouvez sans doute le lien entre dificile à faire entre Pisco, coktail molotov et voyage. Pas si dificile que ca vous aller voir.
Première, pour faire suite a ma derniere parution, je vais vous "briefer" sur la situation quelque peu caotique du Chile. Les manifestations pour les réformes scolaires se poursuivre toujours. La U de C a voté plusieurs jours de grêve. La Fac de Ing. elle, toujours dans son "conservatisme" abérant, n'a voté que 2 jours, soit jeudi et vendredi dernier. La fin de la semaine s'est passé sans trop de trouble, mais aujourd'hui fut une tout autre histoire. Devant le grabuge des 30 manifestants guerillos habituels, la police chilienne s'est vu le droit d'accès au campus accordé. On a eu droit à toute une joute de chats et souries. Respectivement nombré a 10 contre 30. Rien pour empêcher quelques arrestations musclées, sous les cris insésants de la foule et la pluie de coup de parapluie lancés par une jeune chilienne enragée noire.
Pas mal d'accion, et quelques clichés de ma part. Par contre, comme je le disais dernierement, si j'ai le malheur de me faire accrocher au passage par un policier, mes aventures chiliennes se termineraient par une visite à l'ambassade suivit d'un 15 heures d'avion. fack on a quand meme été prudent.

Le lien maintenant. Puisqu'on avait plus ou moins 4 jours de congé, on s'est envolés en direction de La Serna et la vallée d'Elqui, quelques heures au nord de Stg (14 de Conce). La vallée d'Elqui, c'est la où est né le Pisco. Le pisco, boisson nationale du Chile, est élaboré à partir de raisin muscatel qui atteint de 30 a 45 % d'alccol. Ca ressemble au Brandy ou au Rum. Ca se boit mixé (pour le mauvais pisco) et on the rock, ou meme seul pour les bons piscos.
Nous, on boit ca pour se soualer, parce que ca coute presque rien, et que ca fait freanchement, pas mal la job. Mais j'ai été agréablement surpri de voir qui pouvait y en avoir du bon. Meme tres bon.
Bref, la vallée d'Elqui est l'endroit ou la majorité de la production chilienne se fait. Arride et très chaud, conditions similaires au plantation vignobles habituels. On s'est rendu jusqu'a Pisco Elqui (la ville) ou on a pu visiter une microdistillerie et une medium. Très intéressant pour un futur ingénieur, ou bien un amateur d'alcool. On pouvait voir de près la méthode utilisée pour fermenter et distiller les jus.Ce soir la, on a dormi dans une maison en terre battue (vraiment malade!!!), pas mal affectés par les 2 bouteilles de Pisco qu'on avait bu préalablement. On était quand meme la pour ca...
Le lendemain (wow pas de mal de tete, !vive le bon pisco!), on se rend a Vicuna, pour visiter l'usine CAPEL, grosse coorporative de production de pisco. C'est habituellement ce qu'on boit, étant donnée son faible cout. On voulait aller voir l'observatoire le soir, mais on a chocké. La région habite quelques uns des plus gros observatoire au monde. Rien de spéciale pour la fin. Juste un misérable accueil pluvieux a Conce.
Sim

5/31/2006

J'en ai une bonne: si manifesta cada semana, es Chileno

Ouais, mais cette fois ci, c'est pour vrai. Pas des naiseries de "libération pour les Mapuches" ou autres choses. Eux, d'habitude ils lancent quelques roches aux carabineros et vont se cacher sur le campus.
Ca demande quelques explicacions. A Concepcion, (probablement partout au Chili), manifester violament est un sport national. Tout raison est bonne. De plus, à Conce, les policiers (carabineros) n'ont pas le droit d'entrer phisiquement sur le campus de a U sans l'autorisation du recteur. Or, chaque fois que des ti-culs veulent faire de la casse, ils se postent en face de la U, au cas ou... ils cours la queue entre les jambes sur le camplus pour crier victoire... Je me passe de commentaire. A pis non. C'est pas mal fif tant qu'a moi. Ca manque de conviction. Lancer trois roche, se faire arroser par les vielles "moufettes" du régime pinochet (camion pour ramasser les gens ou camion muni d'arrosoir-fusil), et se réfugier sur le campus n'apporte rien. Tu passes meme pas ton message. Surtout que ton message est d'arreter la violence aux Mapuches (améridiens chiliens). Cette quinzaine de petits chiliens n'ont vraiment rien compris. En plus, y font quasiment chaque semaine. Les cours arretes, les falcutés ferment, les profs déplacent leur voitures en courant... vous voyez la scène. Remarquez que je ne pisse pas sur la cause mais plutot sur les moyens...

Cette fois ci, rien de moins que des étudiants en colère qui veulent un réforme du système d'éducation chilien. Encore une fois, causes légitimes mais crédibilité noyée dans la violence. Sans avoir d'explications pour leur voilence acharnée envers l'ordre policière (ou l'ordre en générale), j'ai cru comprendre que les gens présentement de mon ages, c'est a dire dans la vingtaine, ont grandis sous le régime sanguinaire Pinochet. Or, je crois que le balancier reviens de l'autre coté. la révange des violentés...
Précisement, je connais pas trop leur requetes. J'ai essayé d'en parler avec quelques chiliens, mais ils étaient encore plus incultes que moi. Soit je me suis adressé au mauvais, ou bien soit c'est vraiment n'importe quoi. Et je suis un peu trop lache pour cherché sur le web afin de me renseigner. Je crois comprendre que tout a démaré avec les étudiants des collegios (de 12 a 17 ans) avec sleur demandes de gratuité de transports et des trucs du genre. Les universitaires ont embarqués par la suite. Hier, 71 000 manifestants. Quelques 700 arretés, et plus de 50 bléssés. Aujourd'hui, les chiffres ne sont pas sorti, mais ca brass pas mal,meme a Conce.
Comme Vince a fait, je vais vous mettre quelques photos (qui ne sont pas miennes) que j'ai trouver sur le quotidien La Tercera ((c) COPESA S.A.). J'aurais bien aimé gonfler ma collection, mais les étrangers (moi!) n'ont aucunement le droit de se retrouver sur des lieux de manifestions, quelconques soient ils (i.e. violent ou non). J'ai pas pris de chance, sinon, c'est retour au Qc avec un bon coup de pie dans le derrière.

Je respect vraiment les Chiliennes pour descendre dans les rues pour chaque petit truc. C'est ca la VRAIE DÉMOCRATIE. Par contre, lancer des roches et casse tout, mèlé a des représailles plus que brutalières de la par des carabineros, ca manque de charmes disons.

5/30/2006

Hymme à la diférence!

Si te vende drogas, es Colombiano;
Si te estafa, es Argentino;
Si te roba, es Chileno.

De la bouche meme d'un Chilien
estafar --> escrocrer
robar --> voler

Je trouve que mon blog manque "d'imaginativité" et d'intéractivité, alors je vous propose d'ajouter quelques trucs au texte (écrivez moi ca en bas a droite dans le chatbox).
Du genre
si yé gros, yé américain.
Mais genre en meilleur.
Lachez lousse votre imagination. Pas d'attaque personel sur ma personne svp, c'est quand meme mon blog. De toute facon, je connais une seule personne qui ait suffisament d'arogance pour le faire....
A noter que rien sera noter contre vous, et que c'est evidemment pour rire.
En espérant que ca marche plus que mon pathétique sondage!!!

5/24/2006

Avertissement, pour Geek seulement!

Vous allez etre choqués. Je m'en excuse. Mais la vérité doit etre difusée.
Vous vous rapelz sans doute l'épisode classique des Simpson durant lequel Bart se rend en Australie pour s'excuser. Vous vous rapelez donc alors qui s'interoge scientifiquement sur la ratation de l'eau du bol de toilet. La croyance populaire veut que l'eau des bols de toilet ne rotationne pas dans le meme sens d'un hémisfaire à l'autre. Or, ceci est faux. FAUX!! Et moi, qui ai grandit toute mon enfance dans l'ignorance... ¡¡Coriolis!!, you bastard....
Entendez avant de me lancez vos accusations. J'ai des preuves à l'appuies.

"Dans un système de référence (référentiel) en rotation uniforme, les corps en mouvement, tels que vus par un observateur partageant le même référentiel, apparaissent sujets à une force d'inertie perpendiculaire à la direction de leur mouvement. Cette force est appelée force de Coriolis en l'honneur de l'ingénieur français Gaspard-Gustave Coriolis. La force de Coriolis FC est perpendiculaire à l'axe de rotation du référentiel et au vecteur de la vitesse du corps en mouvement. Si le corps s'éloigne de l'axe de rotation, FC s'exerce dans le sens contraire de la rotation. Si le corps se rapproche de l'axe de rotation, FC s'exerce dans le même sens que la rotation."

En d'autres termes, ces forces, présentes sur Terre, n'ont pas suffisament de force pour affecter la direction de la rotation de l'eau de la bol. Par contre, elle permet d'expliqué plusieurs phénomènes terrestrestes tels la forme des cyclones ou bien pourquoi les patineurs artistiques tournent plus vite en raprochant les bras à leur corps.
Votre monde s'effondre hein?? Le mien aussi. De la mes excuses du départ.
Pour plus de renseignement sur ce passionant (?!?!?!) sujet cliquer ici.
J'ai aussi ajouter quelques photos de party.
A+
Sim

5/07/2006

Merci

Vous avez, à mon plus grans étonnement, "petté" le cap des 1000 visiteurs. Ca fait plaisir de voir que vous suivez mes histoires, et de réaliser que je n'écris pas pour les murs. N'hésitez pas à ajouter vos commentaires, ou encore mieux de m'écrire. Vous avez même pas idée à quel point ca me fait plaisir de recevoir de vos nouvelles, aussi "banales" qu'elles puissent paraitre.
Sim

5/05/2006

Viva Chile!!!

Je vous explique la situation. Mardi, premier jour de la semaine (lundi étant férié ici) en apréhendant la pire semaine de la session. Jusqu'a date. 2 examens le vendredi, et quelques autres à faire. Et les 2 exams sur la même plage hoarie. Typiquement chilien. On avait rien fait de la fin de semaine (surprenant hein?!?!?), fack y fallait quand même s'y mettre.
Alors le mardi pendant le dernier cours avant l'examen de transfert de chaleur, notre coéquipière nous approche pour nous demander si ca nous dérangeait de changer la date de l'examen. Evidement, nous ca nous fesait notre affaire, alors on a bien sur approuvé. Leur excuse a eux, c'Est qu'il avait un travail à remettre le mardi, un examen le mercredi et un le vendredi. S'il avait fallu que quelqu'un sorte ca comme excuse à la poly, c'est clair que tout le monde aurait rit de lui. Bon, ici c'est un peu différent, alors ca passer comme dans du beurre. Fait mineur à noter, notre cours du soir à été annulé, suite à notre [moi et marc] discussion avec l'aide prof. Il s'est basé sur notre avis pour savoir si on avait vu assez de matière ou non pour faire la pratique. On avait même pas été au dernier cours. Et on lui avait dit. Décompte des heures de cours:
24 - 4 (lundi férié) - 2 (cours du matin auquel je vais jamais) - 2 (pratique annulé) = 16h
Mercredi, 2 heures au programme, de 3 à 5. À 1h, décès du recteur de la faculté de langue, mon cours est annulé.
16 - 2 = 14h
Jeudi, me lève à 8 pour ma seule heure de cours. Félicitation Sim, t'as vraiment du courage de te levé a 8 pour seulement une heure. Fier de toi. Ca porte fruit, puisque j'apprend que mon second exam est lui aussi annulé. Raison, les étudiants avaient une trop grosse charge de travail cette semaine. Haha. Ce qu'ils sont droles! C'est encore une fois du génie industriel. Drole de coinsidence. Tout le monde avait signé la pétition, à part bien sur les 3 canadiens du cours!
14 - 2 (2e partie du cours du matin auquel je ne vais jamais) = 12
Vendredi, ma grosse journée. Semaine spéciale, mon prof est parti en Espagne. J'avais 5 heures avec lui. Voyons les choses positivement, je peux inextrémissement issité à mon autre cours du matin, lequel je ne peux habituellement pas aller à cause d'un conflit d'horaire. 3 présent au cours. Les 3 canadiens qui n'ont pas signé la pétition. Cours suspendu. Mon heure d'espagnol aussi, c'Est clair , décès du recteur. À quoi je pensais. Je résume pour vous, levé à 9 pour rien. Terrible terrible.
12 - 5 (semaine de vacance en Espagne) - 2 (juste 3 étudiants au cours) = 5h de cours cette semaine!!!!
En ce vendredi soir, j'ai vraiment la satisfaction du devoir accompli. J'oubliait, c'est la mi-session ici!!!

Bon début d'été à tous
faites attention à vous
et
BONNE FÊTES DES MAMANS!!!


Sim

4/25/2006

Rien d'important

J'ai juste 2 choses à dire.
1ere --> ¡Go habs Go!
2 e --> Imaginez vous donc que le film La Grande Seduction passe ici meme a Conce, sous titré en español. Je suis pas mal surpris, mais heureux. J'y vais de ce pas...
A+
Sim

4/18/2006

La Semana Santa a Orsono






Ici, la semana santa c'est quand meme une grosse affaire. Par contre, il nous donne seulement le vendredi de congé. Bouhurns aux dirigeants. Anyway, avec seulement 3 jours, les possibilités de sortir étaient plutot limitées. En plus, on avait un petit devoir à faire. Notre choix s'est donc arreté sur la région d'Osorno, et le parc national Puyehue. Encore une fois, on s'est fait fourré par les bus chiliennes. Double de prix pour la fin de semaine sainte, et complètes quelques jours à l'avance. On a donc été obligé de partir le vendredi, et commencer notre rando le samedi matin à 12h.
La première journée promètait en sueur: première épreuve 1070 mètres d'ascension sur seulement 10,5 km de distance. Pas assez pour nous. Un petite side-trip en plus, pour aller voir le cratère d'un volcan. Quelques 600 m d'ascension de plus en 3h. Faites le calcul, on a quand meme fini la journee assez tard malgré notre tempo assez rapide. Par contre, on s'est tappé une des meilleures vues du Chili: un 360 degré avec, un cratère de quelques centaines de mètre remplie de neige, la cordillère dans toute sa splendeur -- plus de 5 "perfect-cone-shaped volcanos" visibles-- la vallée dans laquelle nous avons monté avec ses couleurs rouge, orange et vert, le lac Osorno, le tout coloré par un inoubliable couché de soleil. La descente à été moins le fun le fun par exemple, froid et noirceux ont miné notre morale.

La 2e s'annoncait un peu plus facile. Mais encore une fois, 2 étape en une.
Avec 3 jours, on peut pas faire de miracle. On a marché à travers le désert "à la Salvador Dali" comme dirait Vinsolente, on est aller s'axfissié avec les multiples fuméroles et quelques geysers, pour finalement treminé la journée dans les hotsprings naturels. On a rarement été aussi cremeux. L'eau a parfaite température pour passer plusieurs heures submergé. On savait qu'une fois entrés, plus question de resortir. Alors, on a apporté tout le stock pour cuisiner, et meme de la bouffe pour le trip bouffe. On a du passer au moins 3 heures à regarder le ciel percé d'étoiles trop brillantes, respirer l'air remplie de vapeur et se dire à quel point c'est bon la vie d'étudiant en échange.
Le retour à Conce s'est plutot bien passé comparativement aux dernière fois. seul pépin, on a du attendre pendant 6 heures à Osorno pour attraper notre bus. 6 très longues heures, puisqu'on avait5 ni toit, ni activités à faire.
Malheureusement, c'était probablement notre dernière sortie pour un bon bout. Le temps se gâte et les travaux vont bien finir par nous ratraper. On verra bien, on est quand meme au Chili!
Que todo vaya bien
Sim

4/11/2006

Altos de Lircay

L'histoire de ma fin de semaine à Talca, et la reserva nationale Altos de Lircay.
Ca commcence comme suit. On décide de parti samedi cette fois, car Marc a réussit à nous convaincre. Fouille moi comment. Donc, après notre pratique de basket, on saute dans le bus à toute vitesse, histoire d'arriver à temps pour pouvoir regarder les 2 semi finales du Final Four. On a eu toute lam isère du monde a trouver une chambre d`hotel abordable. Tout était facilement le double, voir le triple de ce qu'on a payer partout ailleur au Chile. Anyway, on fini par trouver, et écouter les 2 games. 2 blow-outs. Bordel. Le plan pour dimanche était donc de se lever très tot, attraper la bus en direction de la réserve, faire un petit day trek, pis revenir tranquilo à Conce. On se rend sans trop de misère à la réserve. On fait notre trek. Tout va bien jusqu'a maintenant. On arrive pile dans notre étinéraire. On ne pouvait pas se permettre d'arriver plus tard que 5:15, car la dernière bus quittant le parc était à cette heure la. À notre retour, on jase avec le garde forestier, pis il fini par dire, "vous devez alelr attendre le bus un peu plus bas." À 5h, on descend au chemin, exactement à l'endroit ou le premier bus nous avait déposés. On jase tranquilo avec des chiliens. On recroise meme le garde qui nous salut à nouveau avec son plus beau sourire. Les chiliens nous invitent meme à aller prendre de la bière avec eux. Ils ètaient une bonne gang, puisque c'était une sortie scolaire (génie Forestier...) On refuse, bien sur pour etre sur de ne pas manquer notre bus. Vers 5:40, on commence a se poser des questions. On rencontre de nouveau la gang d'étudiants, pis on leur demande qu'est ce qui se passe avec le bus. Ils nous répondent tout bonnement, avec un air légèrement intérogateur "ben le bus est déjà passé." Criss d'épais, pourquoi tu nous a pas dit ca avant. Pourquoi pensait tu qu'attendait?? Surement pas pour ton bus priver!! Pis pourquoi l'autre épais de garde forestier, dont sa seul tâche d'importance est d'avertir les toursites ou aller prendre le bus, nous a pas dit d'aller attendre le bus juste 100m plus bas??? On est maintenant pris au parc. On continu a parler avec la gang d'étudiant qui finissent par nous offrir une place dans leur panel privé. Wow, une trote de 2h assis sur le plancher, mais au moins on peut se rendre jusqu'à Talca. avec seulement 2 h de retard. Un exploit en soit. Par contre, de la, aucune bus se rend a Conce. Comme à l'habitude, on choisit de se raproché le plus de Conce, alors on prend un bus pour Chilian, a seulement 2h de Conce. Rendu la, une autre surprise. Pas de bus non plus pour Conce. Parle, parle, pis après avoir demander 3 fois à la même madamme, elle finit par nous dire ya peut etre quelque chose qui arrive de Santiago en direction de Conce. Comment ca peut-etre. C'est ta job putain de savoir ca. À quoi tu sers??? PIs pourquoi tu nous dis ca apres la 3e fois??? Finalement, c'était bien vrai, alors, encore une fois, tout fini par bien s'arranger...
Fait marquant de la fin de semaine. Vincolente, te souviens tu pas de tes lecons de chimie?? On doit toujours créé un mouvement d'air avec sa main pour sentir les choses potencielement nocives. Ca t'aurais probablement sauvé quelques cellules olfactives quand tu as senti les aiselles de Marc. Marc, comment pouvait tu puer autant pour mettre la vie en danger de Vincolente avec ton odeur?? Toujours plein de surprises hein!?!?

3/28/2006

Nouvel appart, volcan Antuco, premier exposé oral; la routine bref

Désolé pour le récent temps mort dans mes publications. Qu'est ce que vous voulez, ma vie était plate. Mais maintenant, je quelques trucs à raconter.
Ca fait presque déjà un mois que je suis revenu à Conce. J'ai passé les 2 premières semaines à me chercher un appart et à dormir chez des (très aimables) amis. J'ai finalement trouvé. L'appart est juste trop nice. Imaginez, on a 3 toilettes pour seulement 3 personnes. C'est pas trop cher, pas trop loin. Vous vous disez parfais! Mais non, vous savez tout bonne chose a un revers négatif. J'habite avec 2 américains. Oui, je sais, ca pourait etre pire. Mais ca pourrait aussi etre mieux. Sans farce, ils ne sont pas trop pire. Mais ils sont tellement americain. Genre, ils utilisent la secheuse en été, ils consomment comme ca se peut pas, et sont quand meme tres egocentrés. Mais comme je disais ca pourrait franchement etre pire, genre rednecks évangelistes...
La semaine passé, j'ai eu mon premier exposé oral en español. Il fallait que je parle 10 minutes de temps sur un purgeur de vapor à flotteur inversé. Moi aussi je me suis dit "quoi?!?!" Selon les dires à Marc, j'ai fait mieux que certaines personnes. D'autres diront peut-etre " Ouais, mais c'était Carumba!" (pour vous mettre dans la situation, Carumba, c'estle gars de l'histoire du tea-bag...). Bref, je pense que je me suis mérité un 5,6/7. Pas si mal. Meme amplement suffisent. Mais j'ai la sincère impression que le prof à été clément avec nous. Bah, moi je prend tout ce qui passe.
Déjà ennuyé, on a décidé de partir en expé la fin de semaine dernière. On s'est retrouvé à monter le volcan Antuco. Paranthèse: c'est là que l'année dernière 50 soldats Chiliens sont morts dans une tempete de neige. Il parait que la bas l'hivers, c'est juste fou comment il y a de la neige et du vent. Meme en été, c'était pas mal intense. Fin de la paranthèse. Techniquement parlant, c'était un trek de 3 jours. Nous, on voulait le faire en 2. Ca tres mal parti, puisqu'on a commencer a marcher a 4 h de l'après midi le samedi. On a marché un petit 2 heure, puis on a campé là. La base est a 1300m, et le sommet a 2979 m . On a du coucher a 1600m environ.
Petite anecdote. Comme on aime ce compliquer les choses, on est parti avec très peu d'eau en se disant qu'on ferait le plein en route. Evidemment, pas un seul riusseau sur tout le volcan. Au menu pour le souper, oeufs cuits dur, pain, mayo sel et poivre. Pas si mal. Pas besoin d'eau. Mais Vince a eu le malheur d'échaper un de ses oeufs par terre. MArc s'exclame alors " Vince, penses-y meme pas, on rassionne l'eau. " Alors , Vince a du licher l'oeuf et recracher le terre jusqu'a temps qu'il soit mangeable. Laissez moi vous dire qu'on a bien rit de sa gueule.
2e journee. Le garde nous avait conseiller de faire un petit détour afin de monter le volcan sur sa facade la moins escarpée. Evidemment, nous avec notre naïveté la plus déconsertante, on a finalement monté les 1500 m qui nous séparait du sommet à l'endroit le plus dangereux. Sérieux, c'était vraiment dangereux (Phrase alternative pour toi Marie: c'était une marche de santé!). Premierement, c'etait vraiment apique. 2emement, chaque pas pouvait provoquer un petit éboulit. 3emement, la surface su volcan est couvert de roche volcanique. D'uh. Mais ca serieux, ca coupe. Pas mal a par de ca. Nos bottes ont vraiment manger la clac. On aurait sincèrement pas pu descendre là où on a monter. Trop dangereux. On a finalement atteint le sommet après 5 pénibles heures de marche. Le vent était déchainé au sommet. Vent qui venait des glaciers avoisinants, alors il fesait pas mal frette. Afin de nous rechauffer un peu, on est aller s'écraser dans le crater pour se faire chauffer le derrière. Le volcan est encore un peu actif, alors les roches du crater sont presques brulantes. C'est assez satisfesant de s'asseoir dans un crater de volcan semi-actif, à 3000m d'altitude avec un decort à couper le souffle. La descente, un peu plus facile que la monter ne fut pas de tout repos. Cette fois la, on a décider de prendre la voie facile. Ca reste que les chevilles et les genoux travaillent en sale. J'avais peine à marcher à la fin de ma journée de 8h. Heureusement pour nous, on a trouvé un lift qui partait de la base du volcan jusqu'a notre porte d'appart, ou presque. Encore une foie, je suspect l'interference de Dieu ici.
Je sais que je vais creer l'envie chez mes paires avec la prochaines partie. Le pire c'est que j'aime ca!! Manu Chao est venu à Conce. Ben oui, moi non plus j'en crois pas mes oreilles. Un sacré bon show, avec malheureusement un sono "mas o menos". Ca reste que ca été un 2:30 h de musique endiablée et entrainante.
A plus

3/08/2006

C'est la fin

Ca y est, presque la totalite de mes photos sont en lignes. Je suis de retour a Concepcion, malheureusement. J'aurais bien continué encore plusieurs semaines. Comme on dit:" quand y faut, y faut". Je vais essayer de continuer a écrire un peu, afin de raconter les quelques peripeties qui risquent de m'arriver.
Cheers
Sim

3/03/2006

Le sprint final


Après avoir relaxé un peu, il fallait se remettre en marche. Je devrais plutot dire en course, puisque les jours jours seront très chargés. Destination Arequipa, dans le sud du Perou. Tout près de là, il y a le plus profond cañon du monde. El cañon de Colca; quelques 3100 m de profondeur à son appogé. On a commencé la journée bien de bonne heure, car on voulait aller toucher le fond, puis remonter ensuite. C'eswt dommage, puisqu'on a fait toute la descente summergés de nuages. Au moins, la remontée s'est faite avec une bonne vision generale. Le cañon est impressionant, bien sur, mais on commence a être un peu blasés de beaux paysages, l'effet choc est plus ou moins disparu. Bref, l'espérience a été bien plaisante, mais je suis pas sur que je le referais, surtout en étant aussi pressé.
Après Arequipa, c'étrait la Bolivie qui nous attendait. La paz aura été notre seul vrai stop. Pour l'équivalent de la journée qu'on a passé la bas, on a fait pas mal d'affaire. Magasiner pour les handicrafts tellement cheap, bien manger pour tellement cheap, et fait la guerre de baloune d'eau avec les locaux pour tellement cheap... La Bolivie, c'est tellement cheap. C'est la place en Amerique du Sud pour acheter des chandails de laine d'alpaca (la meilleur laine au monde je crois...) pour genre l'équivalent de 10$. Vous voyez le genre. La bas, on dejeune avec jus de fruits frais, café, toast, oeufs et un bol de muesli-fruits-yogurt pour meme pas 2$ can. Pis durant tout le mois de fevrier, c'est le carnaval à la grandeur du pays (je dirais meme à gradeur de l'amerique du sud). Ici, ca se fête à coup de balounbe d'eau, fusil à eau, chaudière d'eau.. Bref tout ce qui peu moullier. Et tout le monde y passe. Il y a même des gens qui se promènent dans la boîte des pick-ups, avec unique but d'arroser les gens. Evidemment, ils sont la cible favorite des lanceurs de balloune. Surtout aux feux rouges!!! Et nous, après s'être fait canardés, on a décidé de se vanger... On a eu ben du fun disons...

Après La Paz, direction nord de l'argentine. Pour se faire, bus jusqu'à Oruro, ensuite, train jusqu'a Uyuni, après train (encore, ya fallu bargainer fort pour qu'il nous trouve des place par exemple...) jusqu'a la frontière, puis un petit steak en passant ( pas mal gros a vrai dire) pour atterir finalement à Salta. 1 lit depuis les 6 derniers jours. Je commence à être un peu tanné des voyage de nuit. Quand y faut, y faut! D'ici (d'ou j'ecris), on organise notre rentrée à Concepción. C'est pas facile, tous les bus sont complets ou presque. Si tout va bien (c'est rarement le cas ici en Amerique du Sud) on devrait arriver dimanche soir. La session commence lundi matin. Il faut que je me fasse un horaire, trouve un appart, déménage... Dur retour à prévoir. Surtout qu'il n'y aura probablement pas d'autre lit d'ici la...

2/26/2006

Huacachina, l'oasis du Peru


Ma dernière parution venait de Cuenca, Écuateur. 35 heures plus tard, j'etais à Huacachina, tout près d'Ica, Peru. Je me souviens pas si je l'avais dit ou non, mais la côte péruvienne est très désertique. Aucun arbre, que des montagnes de sables. Et bien sur, l'eau, puisque c'est la côte. Obvio.
On est arrivé a Huacachina le soir; j'étais toujours ignorant de la surprise que j'allais avoir en me levant. Huacachina, c'est un petit oasis avec un lac en plein milieu d'un gigantesque désert de dune de sable. Tellement spectaculaire. En plus, la ville est trop relaxe. C'est vraiment minuscule, et il fait tellement chaud, que tout fonctionne au ralenti. Les gens sont aussi slow que le rythme de la ville. J'adhère à la théorie qu'à force d'être au soleil, ils finissent par se faire cramer le cerveau. Sérieux, quand tu te pointes dans un restos et que tu demandes à manger, et que le serveur immobile te questionne d'un air vitreux et son un petit coulis de bave le long de machoire ouverte... Pas fort. Anyway, les touristes eux étaient ben cool. Et pour nous soulager de la constant fourneux qu'est Huacachina, on avait toujours la piscine de l'hotel.
A part relaxer (c'est tellement la meilleure place pour faire ca!) on s'est payé un petit trip de sand-boggy jumelé à du sand-board. Je m'attendais à plus, mais on a quand même eu ben du plaisir. Les paysages sont à couper le souffle. Les débarques de sand-board le sont aussi. Ca roule en sacrament, et du sable, c'est pas de la poudreuse, c'est dur. Je suis encore tout crispé des multiples débarques.
C'est dommage qu'on doivent courrir d'ici la fin pour voir tout ce que l'on veut, car j'aurais bien rester la quelques jours...

2/21/2006

Tout en marchés


Après les évenements de la boucle, Vince nous (Fil et moi) a quitté. Il est parti vers le sud. Nous, vers le nord. Le jeudi, on est arreté à Siquisili, où a lieu nu des plus gros marchés indigènes de la nation. Principalement pour les locaux, il y avait une petite partie pour les touristes, voir peut-etre le 1/4. La section nourritures était partculièrement intéressante, avec des tonnes des gens accompagnés de ce qui ont a vendre. Ça varie des simples bananes, au ognons, en passant par tout ce que je connais pas. La partie touriste était aussi plaisante, mais c'était pour touristes. Ça reste toujours moins vrai dans ce temps la...
Ensuite, Quito. Une ville ca reste une ville. Mais Quito a quand meme un extremement beau vieux quartier, uen ambiance generale décontractée, avec ca situation géographique particulière; la ville est juchée dans les montagnes. De plus, avec sa horde de touristes, Quito offre un bon night-life et de bonnes opportunités de rencontres.
Le samedi, on est aller voir le fameux Otavalo market; un des plus gros en amerique du sud. C'était prévisible, mais ça donne toujours un choc de la constater. C'était un vrai zoo à touristes. Bonnes opportunités d'achats par exemple. Finir par Quito, il y a de quoi remplir mon gros 80 litres de handicrafts ecuatoriens.
Par la suite, on est aller a Baños, dans le sud. Excellente place pour faire toute sorte d'activité, mais comme la jambe a Fil était encore tout croche, on a pris ca relax. Le décor était absolument féerique. J'ecris maintenant de Cuenca, ville coloniale assez jolie. On quitte demain pour le voyage de retour. Premiere destination Lima.

2/15/2006

God bless the backpacers (the stupid ones)

Bon, si je reprend la ou je vous ai laissés, ça y va comme suit. Je n'ai pas grimpé le volcan, car comme à l'habitude, il y a des nuages. On décide donc de refranchir la frontière pour aller vers le sud; direction Latacunga, Ecuator. On venait ici pour 2 choses: une ride de bus malade dans le country side, et la possible grimpe de volcan, le 2e plus haut de l'ecuator (le cotopaxi). On risque de ne pas monter le volcan, faute de temps et de vetements chaud (même sur l'écuateur,il fait vraiment frette à 4000m...). Pour la première, highlight du voyage.
La ride consistait à faire la Quilotoa loop: 2 jours de bus dans des paysages à couper le souffes, mootagnes, vallées cultivés, et cratère de volcan remplie d'eau. Bien entendu, faire du bus, c'était pas assez aventureux pour nous. Alors on a décidé qui descendre de la bus pour aller jeter un coup au volcan. Sick. Il nous restait donc 5 heures de marche pur se rendre à la destination finale. Il était déjà 3 h. Alors même avec un bon rythme de marche, on arriverait à la noirceur. Ordinaire. En plus, il fallait emprunter les trails (non indentifiés) des locaux. Ce qui veut dire que l'orientation est difficile. En d'autres mots, on allait de perdre, presque qu'assuré. Vous devinez la suite. On s'est perdu. Pis se perdre la bas, c'est pas trop le fun. On devait marcher à travers le nuages, les vallées perdues, traverser les cayons, braver la pluie, marcher au frette et à la noirceur. Et à cause de notre perte, on a du se raouter facilement 2 à 3 heures de marche. Résultat, 9 h du soir, on marche encore. Au moins, on marche sur une route. On doit dealer avec les jeunes qui nous quêtent de l'argent et ceux qui nous lancent des balloons d'eau. Pas cool à la tomber de la nuit quand tu es déjà gelé... À ce moment, on estime (à tord) notre arrivée à "dans pas long". C'est alors que le Dieu se manifeste. Un pick-up passe et nous ramasse. On a dû faire au moins 30 min, l'équivalent de 2 à 3 heures de marche. Faites le calcul. Ça aurait craint d'être nous au plus au point. On a ben dormi cette nuit la, croyez moi!
Le lendemain, il fait beau dans la matinée. on décide de repartir à l'aventure. La plan était de marcher dans les trails pour aller rejoindre la route principale, le tout pour environ 3 à 4h de marche. Encore une fois, à cause d'un mauvais choix de route, on se ralonge . Jusque là, c'est pas trop grave, puisqu'ilfait encore clair, et qu'ona tout notre temps. En autant qu'on arrive à destination. On commence par contre à trouver notre dejeuner pas mal loin, puisqu'on a rien à manger et pratiquement rien à boire. On est downtwon nowhere. Et vlan, le ciel nous tombe sur la tête. Fil attrape un mal étrange à la jambe droite. Il est maintenant incapable de marcher, où presque. Ça va mal à chope comme on dit. Et tout à coup, Dieu se remanifeste. Sérieusement, je lui doit une couples de sacrifices pour tous les fois qu'il m'a sauvé la peaudu cul. Je devrais p-e lui donner un nom aussi... Je diverge. Je disais donc, un pick-up (eh oui! encore une fois) passe, peut-être 15 après la chute du ciel. Il restait au moins 2 à 3 h de marche de nouveau.
La morale de cette histoire, c'est qu'on peut se lancer dans n'importe quele conneries et aventures, ça va toujours s'arranger. No matter how deep your are in the shit.
Le bilan de cette histoire, paysages fou raide. 2 jours de magie. À refaire...

2/12/2006

Sim au pays maudit

Avec toute la mauvaise réputation internationale qu'il s'est mérité au cours des dernières années, la Colombie théoriquement mérite bien ce surnom. Je dis bien théoriquement. En pratique, c'est une toute autre chose. Bien évidemment.

Mon séjour ici a commencé dans la contreverse personnelle. Je m'étais promis de ne pas voyager de nuit. La guerilla, quand elle frappe, frappe de nuit. C'est peu probable, mais pourquoi courrir apres les ennuies. Ben j'ai fouiré. On a traverser la frontière vers 8 h (il fesait deja noir). On ensuite prit un collectivo pour Pasto. Arrivée, 10:30. Prochaine bus, 11:30. Arrivée à Popayan à 6h du matin. Bravo. Je suis fier de moi. Après tout, les résolutions sont faites pour être brisées.

Après notre demi heure à Popayan, on quitte vers Silvia, mini village montagneux, lieu du plus grand marché Indien du pays. La route pour s'y rendre est à couper le souffle. Montagnes, vallées, maisons typiquement rurale, route sinueuse, écoliers attendant la tracteur scolaire... Décors comme je les aime.
Pas un touriste à l'horizon en débarquant à Silvia. Pas suprenant, il est genre 7 heure du matin. Le marché est toutefois bien lancé. De toute façon, je doute fort que d'autres touristes ce pointent ici. C'est tellement perdu. Comme à l'habitude quand je débarque dans ce genre d'endroit perdu, je me passe la reflexion " Quessé qu'on fait ici?" La réponse est pourtant assez simple.... mais je ne peux quand même pas m'empêcher de me passe la remarque.
Ici, presque tout le monde porte l'habit traditionel. Jupe mauve, ti casse melon, grosses bottes. Les photos risquent d'être meilleures que moi pour la description. Même avec leurs attributs plus que bizarres, c'est nous qui avons volé la vedette. Les gens ne pouvaient juste pas s'empêcher de regarder les 3 gringos de 6 pieds qui se sont trompé de chemin pour attérrir au milieu de nul par ( Silvia). À l'honneur au marché: fruit et légume frais (of course), bottes, chandail, montres, café, patates, poulets vivants. De tout finalement. J'adore trop les marchés. Tellement vivant. On devrait importer le concept. Franchement.

Malgré ma passion pour les marchés, après l'avoir visité à 2 reprises, on avait plus grand chose à faire. On quitte donc pour Cali, grand ville Colombienne, réputé pour avoir soi disant les plus belles filles de la nation. Je dois secondé. Les demoiselles étaient sublimes. Et beaucoup plus sexy que leurs voisines du sud. Malheureusement pour nous, on est arrivé sur un jour de semaine. On a donc raté une très bonne occasion d'avoir l'aire fou dans une salsatèque colombienne. Et par le fait même, de rencontrer les jolies Caliennes (??). À ma grande surprise, la ville est très moderne, comme tout ce que j'ai vu de la colombie jusqu'a présent. Beaucoup plus que le Peru et l'Ecuador. J'ai gouté à l'herbe Colombienne, et encore une foi, franchement meilleure que ses competiteurs sudiens.
Le plan pour la suite, était d'organiser une expédition sur la Isla Gorgona, parc national colombien sur la côte pacifique. L'informations était difficile à obtenir en ville, alors on a décidé d'aller voir sur la ville côtière la plus proche, soit Buenaventura. La ville n'a rien d'exepcionelle, à part le fait d'être autentiquement portuère. Sale, bruyante et même probablement dangereuse. De quoi avoir beaucoup de fun! Encore une fois, l'informations se trouve au compte-goute. On doit courrir dans toute la ville pour aller voir les différents propriétaires de cargo pour connaitre leur desinations et leur prix. Une aventure en soit. Finalement, trouvant le voyage direct pour Gorgona trop cher, on opte pour aller dans une autre ville, beaucoup plus proche de l'île, pour ensuite attraper un petit bateau de pecheur qui pourrait nous emmener sur le parc. La ville en question se nomme Guapi, et se rejoint uniquement par voie maritime. Alors on trouve un cargo de bois qui se rend la bas. En nous quittant, le chauffeur nous amème dans un petit coin et nous litéralement, " les gars, couchez avec vos packs, laissez personnes leur toucher. Protègez vos arrière, c'est franchement dangereux sur ce genre de bateau." Nous, on fillait so so après ce petit avertissement. Surtout que le voyage allait s'effectuer de nuit. On commencait deja a planifier la rotation de la garde nocturne... De plus, les gens sur le cargo n'étaient pas vraiment simpatiques. Rien pour rajouter à l'atmosphère déjà pas trop rassurante. Enfin, on rencontre un gars qui à l'aire aimable. Il parle même anglais. Il nous raconte un peu son histoire: il a passer 6 ans à Houston, USA. Ils vendait de la drogue; pot, crack et autres cochoneries. C'est alors que j'ai poser la mauvaise question. "Pourquoi es-tu revenu en Colombie?" Réponse: " A guy tried to robbed me. My money, my drugs, everythings. So I killed the mothafucka." Rien pour nous rassurer. À ce moment la, on était pas gros dans nos culottes. 12 heures de bateau avec ce genre de personne la. S'il décide de nous voler, on est cuit. Tout ce qu'on pourrait faire c'est de dire: "help yourself". Finalement, rien de grave n'est arrivé. Seulement une mini nuit, dans des quartiers de 2 m carré, incluant 6 couchettes, à ce faire barouater aux gré des vagues de pacifique.
Guapi, 7h du matin. On bat un recor personnel. Ici, ils doivent acueillir genre 20 touristes gringos par année. On est pas mal les stars de villages. La ville est accecible seulement par voie maritime ou aérienne. Normal qu'il aille si peu de touriste. Alors on commence nos démarche pour trouver un transport quelconque pour aller sur l'île. Bordel. Tout est hors de prix. On fait le tour de la ville, parlant à tout les propriétaire de barque possible. La réponse est toujours la même. On est baiser. On est prix dans cette ville, quasiment exclusivement noir (le centre du pays est plus mixte), n'ayant comme seuls choix d'aller sur l'île Gorgona, ou bien de retourner sur nos pas, ou bien de prendre un nouveau bateau pour aller plus vers le sud, ce rapprochant ainsi de l'ecuador, prochaine destination. Après avoir jouer de longues heures avec des jeunes de la place, on fini par prendre notre décision. On part vers le sud. Trop cher pour aller visiter le parc. En plus, on ne savait rien du cout de la vie une fois rendu la bas. On dernier guess nous décourageait. Direction Charco.
Charco, nouveau recors atteint. Ici, je doute même qu'ils voient des touristes, at all. La présence militaire s'amplifie aussi. On a du se faire contrôler aux moins 6 ou 7 fois pendant notre périple sur la côte. Questions et vérification de papier, rien plus. Mais leur M-16 (mitraillète américaine) n'avait rien de rassurant. A Charco, notre célèbrité est au zénith. Les gens nous pointent, rient de nous (on ne sait toujours pas pourquoi d'ailleur. Faut croire que le fait d'être gringo dans une ville quasi exclusiement noir faire rire certaine personnes!) Marc, juste pour te dire, c'est pas mal pire qu'à Conce, même à l'heure de pointe écolière. L'expérience est franchement intéressante par exemple. J'ai rarement été dans une place aussi reculée, même en Asie. Pas contre, les gens demeurent aussi simpatiques. Le seul problème, c'est qu'à la fin de chaque conversation, ils te demandent de l'argent pour manger. Ça casse le charme un peu. Notre prochain barque était le lendemain matin. Cette fois ci, pour Tumaco.
La route pour se rendre à Tumaco est particulièrement impressionante. Mélange entre open-sea et Mangrove forest. Notre chaufeur se prenait pour Schumi, alors la route s'est bien faite. Encore une fois, plusieurs contrôles militaires. Après 5 h à se faire barouater, on arrive enfin sur le terrain des vaches. Et finalement, on atteint une ville qui est lier au reste du monde par une route. En théorie du moins. En parlant avec la cuisinière du resto, elle nous apprend que la seule route était inactive, dû à un éboulie. Tarb*%(/&··ck, on va tu avoir de la chance un jour? Elle nous dit que la route réouvrira possiblement d'ici 3 à 5 jours. AAAAAAAAAHHHHHHHHH. On ne désespère pas. On décide d'aller quand même s'informer aux agences de bus. Même eux avait l'air pas trop sur. Ils nous disaient, si jamais ça ne passe pas, vous n'avaiez qu'à marcher 20 minutes et prendre un autre bus de l'autre coté . On se lance. Y faut bien. Même si j'ai l'impression que depuis le début de notre aventure, on se lance et qu'on a tombé à coté de la piscine. Qui ne risque rien n'a rien. On s'est finalement rendu à destination: Pasto.
Au menu, visite au Laguna de la Cocha et possiblement montée d'un volcan. AUjourd'hui, on est allé au laguna. Heureusement (ou non), c'était jour de fiesta. On pouvait difficilement marcher tellement il y a vait du monde. Quand même pas mal interessant. On a mangé du cochon d'Inde. Il fallait essayer. Il avait l'air trop bon sur sa broche en train de rotir. Et ca avait l'air typique. Suffisament de d'argument pour me convaincre. Pas vraiment bon par exemple. Le lieu est malade. Un gros lac au mileu de montagnes trop nice.
Demain, c'est la grimpe du volcan si la temperature nous le permet. Il n'y a rien de pire que de monter à 4000 m et d'avoir la vue bloquée par les nuages... Après on retourne en Ecuador pour visité un peu plus. Je suis vraiment passé vite, et il me reste des tonnes de choses à voir. LEs photos devraient venir bientot, aussi vite que je peux trouver une bonne connexion internet.

2/06/2006

¡Finito!, Elvis Presley. ¡Finito!, Santa Banana.



Oui, Elvis est bel et bien mort. Et oui, le titre fait aucun sens. Ou presque. J'aurais du intituler mon article "Bienvinidos à Santa Banana", mais ca avait beaucoup moins de punch. J'ai préféré répeter les lignes du fameux classique québécois. Maintenant pourquoi?? Ben j'ai officiellement renommé l'Écuador la république de Santa Banana. C'est le pays des bananes ici, evidemment, à mon grand plaisir.

Jusqu'à maintenant, on a fait Guayaquil (plus grosse ville ecuadorienne), Montañita (mini surf resort, du style pas mal bohémien), et Quito (Capitale Ecuadorienne, mais seulement pour une avant midi).

Guayaquil:
Grosse ville. 2 500 000 habs. Sans trop de saveur. Pas grand chose à voir sauf le Parc Simon Bolivar. Lui, c'est une légende dans tout l'amérique du sud. Il vient du Venezuela (si j'ai bonne mémoire) et il a libérer genre 4 ou 5 pays de l'empire hispanique... Anyway, dans le parc, y'avait genre 40 gros iguanes. Juste sur la photo avec l'arbre, on peut en compter genre 10. Les plus long pouvait atteindre 1,5 mètre... Le pire, c'est que le parc est en plein milieu de la ville...

Montañita:
Petit paradis. Trop relaxe. Dans le livre, on peut lire: " montañita means barefoot, banana pancake and surf". C'est juste trop vrai. Mais ils ont oublier quelque chose de ben important: party! Evidemment.
Le village est envahie de hippies de toutes sortes (j'imagine que je suis un peu à blamer) qui vendent colliers, bijoux et cossins de coquillages. Toursits trap, mais ca met quand même un peu d'ambiance. J'ai bien l'impression que le barefoot vient d'eux. À vrai dire, j'en suis sur.
On a trouvé une place où ils vendaient des empanadas aux bananes. Des empanadas, c'est comme des pizzas pochettes, en bon et fourrés à plein de trucs, dont le tout récemment découvert, les bananes. Et vous connaissez ma passion pour les bananes.... Je suis venu accro assez vite. Et je vous ai dit que tout ca était frits???
Le surf. Encore. J'ai finalement upgradé mon statut de wanna-be surfer à mauvais surfer. Mais sérieusement, une ou deux journée de plus et je me méritait celui de tant convoité de surfer. J'ai réssit à rider avec le board que Vince avait loué (genre ponton), avec le mien, 6'6, et avec celui a Marc 6'2. J'était pas mal fier de moi! Bref, méchante belle expérience. Rider une vague, c'est... je sais pas trop. Indescriptible pour le moins.
Party: Band live, bar tranquillo, pubs, club; tout y était. Y'avait des mini-kiosk à alcool dans les rues. Le soir, les rues étaient plein à craquer. Pour économiser notre argent, on s'est mit sur le caipiriña, drink brésilien à base de caña, lime, sucre et glace. Délectable.

Ensuite, on est allé rejoindre Fil à Quito, pour repartir le soir même vers le nord. Vers le pays maudit!!!!

La fin de mon séjour à Mancora


La plage est toujours aussi belle que dans mon dernier article. Les femmes toujours aussi attirantes et la vague toujours aussi surpeuplée. Pas surprenant, c'est la même place... On a du passer au moins 5 jours là bas. C'était juste trop relaxe. Plage, surf, bars, beaucoup de nourritures. Difficile de ne pas aimer ça...


Vince-de-Conce est venu nous rejoindre, alors pour la première fois, on était les 4 ensembles, comme prévu au début du trip: Moi, Vince-de-Conce, Marc & Fil. La dinamique change drolement en voyageant à 4. Même trouver un resto devient quasiment complexe.
Ça résume pas mal le restant de mon temps à Mancora, capitale Péruvienne du surf.


Photo : Début d'une soirée pas mal intéressante

1/28/2006

Le surfer en moi



À propos du titre, ben je le cherche encore. Et laissez moi vous dire qu'il est pas mal loin... Je désespère pas par exemple
Marc est venu me rejoindre à Lima la journée de notre départ. J'étais en train de finaliser la transaction visant à me procurer my new baby (un surfboard de 6'6) . Marc, sentant la pression sur lui, a décidé de faire le même move. Depuis ce temps, il m'acuse de l'inciter à faire des dépense.... N'importe quoi. Anyway, le résultat est qu'on a maintenant 2 surfboards et qu'on est prêt à attaquer les vagues Peruviennes.

Trujillo
Premier choc, c'est pas mal dur. Les vagues sont grosses et dangereuses (pas trop quand même Marie...). On doit travailler très fort pour se rendre à "la" vague surfable; duckdiver (plonger pour eviter une vagues) à plusieurs reprises et paguayer tres longtemps. On arrive mort à "la" vague, donc c'est encore plus dur de l'attraper. Et les courants sont quand même assez fort, après seulement une heure dans l'eau, on dérive de plus de 1 km facilement. Par exemple, quand tu réussi a prendre "la" vague de 7' à 10' ben ca roule en sale après. Ta besoin d'être prêt à monter sur a planche. Chose que je ne suis toujours pas arriver à faire. Très proche par contre, genre petit bonhomme et chute, ou bien debout mais fin de la vague... La ville était plutot tranquille. Hamburgers à 0.33$, guerre de balloune d'eau avec des inconnud (nous ont avait le beau rôle puisque notre hotel avec une terrasse sur le toit!), plague pas si mal, world-class breaks ("la" vague!), soleil. Un peu trop de soleil par contre, même en fesant très attention, moi et Marc avons rotis comme des petits poulets .... (hummm , poulets....). Pire coup de soleil depuis fort longtemps.

Mancora
Je viens juste d'arriver ici. Donc, pas grand chose à dire. Pas mal touristique. Genre vraiment. Mais ça fait du bien des fois. La plage est magnifique. Beaucoup de jolies demoiselles. Une parfaite "left-break-barrel". J'ai pas encore tanté ma chance, car il y a beaucoup beaucoup dem onde sur la vague. Et comme je crains, je suis abstenu jusqu'à maintenant. Mais demain, je me lance for sure. Et j'ai bien l'intention de monté. Les conditions semblent beaucoup plus facile ici, ca devrait m'aider un peu.

1/22/2006

My time in Lima

Lima sale, Lima plate, Lima dangereuse, Lima pas de night life, Lima vas-y pas. WTF are you talkin´ about? C'est juste trop le fun ici. J'habite dans un des meilleurs hotel jusqu'a date. Partys a chaque soir, hammack, internet gratuit, bar inclus, billard aussi gratuit, plein de gens trop simpathiques. Paradis quoi. Quoi de plus??? J'étais supposé rester ici seulement une journée, mais finalement genre 5 jours en tout. Je vais vous épargnez les banalités quotidiennes, car c'est franchement ennuyant.
Moi pis Vincent, a.k.a Dutchy, on s'est loué un engin avec 2 rous, un guidon et des freins. Ici il appele ca une bicyclette, moi j'ai difficilement reconnu. Armé de nos fantastiques vélos, on s'est rendu jusqu'a "la punta", ancien quartier uppé de Lima, situé bien sur sur la pointe de cette derniere. C'est un bon 3 heures pour y aller. Surtout qu'on devait traverser 3 slums (ghetos) vraiment dangereux. Meme le policiera qui on a demander une direction nous a dit "allez pas la, ca fume beaucoup et c'est dangereux". Ca ma fait rire que le policier me dise ca... On a éte obliger de rouler sur la semi autoroute a 4 voies pour eviter tout ca. Pas trop safe, puisque tu dois eviter les bus qui stoppent et repartent quand bon leur semblent sans trop se preocupé de toi. Ca veut dire que tu te retrouve assez vite en plein milieu de cette artere a rouler entre 2 rangees de voitures. Faites vous en pas, je suis toujours en un seul morceaux. Mais croyez moi, la moitié du fun de notre journée a été de se rendre la bas!!
La punta c'est une espece de péninsule super fine avec des palges de chaque cotés. Peut-etre 500 metres de large, pas plus. Et je'ai mangé la meilleure cevicha ever: poisson cru, moule, crab, langoustine, calmar, pievre, tout ca mariné dans un espere de jus de citron de piment fort. Meme moi qui n'aime pas trop les fruits de mer, j'ai vraiment adoré. Sur le chemin du retour, on est arreter pour jouer au football (le vrai, pas le football americain) avec des locaux. Trop nice.On a eu tellement de fun. Mon chum Vince ne voulait tellement pas arreter qu'il s'ait fait des ampoules jusqu'au sang. Vous allez me dire que le fait qu'il ait jouer nu pieds sur le beton n'a pas aidé, ben vous avez entierement raison. Il a meme du aller a l'hopital la journee de son depart pour les USA (le lendemain). Ca avait deja enflé, et il esperait avoir une place VIP sur l'avion a cause de ca. J'ai vu pour la premiere fois des infirmiere se pogner le beigne avec les mains dans les poches. Certaines regardaient meme les photos a Vince sur son appareil. Tout un choc pour un Quebecois!
J'ai aussi essayé de surfer. Je sens que je vais vraiment aimer ca. La seule foie par contre ou j'ai pu monter sur ma planche, j'ai pogner une crampe dans le mollet qui ma durer jusqu'a ma sortie de l'eau, genre 5 min. J'ai tellement le mollet raide aujourd'hui!
Ca fait le tour de mes insignifiances... Je souhaite maintenant bon sommeil. Les photos arrivent bientot, je l'espere
Oubliez pas de voter! And for God's sake, pas CONSERVATEURS!!!!